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Un cadavre allongé sur le parvis de la cathédrale de Coutances, voilà la découverte d’un paisible passant se rendant à son travail. C’est le début d’une minutieuse enquête que l’as de la Direction nationale du renseignement et des enquêtes douanières doit mener à son terme pour démasquer et connaître les étranges raisons de cet acte. Un formidable suspense qui va conduire le célèbre inspecteur Vébert dans les ruelles moyenâgeuses de Coutances jusqu’aux stations balnéaires de la côte ouest de Cotentin.

Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, Gwaz-Ru et Tréphine Scouarnec vivent avec leurs sept enfants sur leur petite exploitation agricole des environs de Quimper. Les trois garçons et quatre filles de la fratrie vont chacun connaître des destinées très différentes, mais emblématiques des mutations profondes de la Bretagne moderne et de l’impitoyable disparition de son monde rural... Hommage vibrant à la Bretagne, un superbe roman de terroir en forme de saga familiale. Peuplée d’êtres aussi attachants qu’authentiques, et portée par la langue unique d’Hervé Jaouen, une lecture bouleversante.

Fatima a promis à sa mère mourante, Khadija, de toujours veiller sur son père, le prophète Muhammad. Mais lorsque celui-ci se marie à Aïcha, fille de son fidèle compagnon Abu Bakr, Fatima se sent trahie. La naissance d’Hassan, son premier fils, exacerbe leur rivalité. Qui sera l’héritier du Prophète ? La lignée d’Hassan, dont se réclament les chiites ? Ou celle d’Abu Bakr, dont se réclament les sunnites ? Marek Halter poursuit avec Fatima la guerrière sa grande épopée sur ces femmes qui ont façonné l’islam, et donne les clés du conflit entre sunnites et chiites, qui déchire encore aujourd’hui le monde musulman.

Les années 1915 et 1916 ont été, pour Henri Barbusse, décisives. C’est en 1915 qu’il a vécu Le Feu dans les tranchées du Soissonnais, de l’Argonne et de l’Artois, comme soldat d’escouade, puis comme brancardier au 231e régiment d’infanterie où il s’était engagé. C’est en 1916, au cours de son évacuation dans les hôpitaux, qu’il a écrit son livre. Celui-ci, publié par les Éditions Flammarion à la fin de novembre, remporta aussitôt après le prix Goncourt. Considéré dans le monde entier comme un des chefs-d’œuvre de la littérature de guerre, c’est un des témoignages les plus vrais et les plus pathétiques des combattants de première ligne.

Les années 1915 et 1916 ont été, pour Henri Barbusse, décisives. C’est en 1915 qu’il a vécu Le Feu dans les tranchées du Soissonnais, de l’Argonne et de l’Artois, comme soldat d’escouade, puis comme brancardier au 231e régiment d’infanterie où il s’était engagé. C’est en 1916, au cours de son évacuation dans les hôpitaux, qu’il a écrit son livre. Celui-ci, publié par les Éditions Flammarion à la fin de novembre, remporta aussitôt après le prix Goncourt. Considéré dans le monde entier comme un des chefs-d’œuvre de la littérature de guerre, c’est un des témoignages les plus vrais et les plus pathétiques des combattants de première ligne.

Trois sœurs téméraires, érudites et adeptes des écrits des Lumières voient leurs aspirations se heurter à une société régie par des hommes et où l’Église exerce une autorité politique qui maintient la femme sous tutelle. Ajaccio, 1772: la Corse fait face au danger barbaresque venu de la mer. Par une nuit sans lune, un navire corsaire s’introduit dans la rade. Marinella, l’aînée, savante en la médecine des simples, part pour Menton exercer son art. Sa pratique lui attire les foudres de l’Inquisition qui y voit l’évidence d’un pacte avec le Malin. Arrêtée pour sorcellerie, la jeune femme risque le bûcher. Ce roman est un voyage au pays mentonnais de la fin du XVIIIe siècle. Il fait revivre les vieilles ruelles de la ville médiévale, la beauté des sentiers muletiers, la vie au bord des torrents, les anciens moulins à huile, les restanques resplendissantes de l’or des citronniers et les tartanes desservant la côte.

Ajaccio, 1772. Lætitia Chiquetti, âgée de 15 ans, s’embarque comme mousse, sous le nom de Francisco, à bord de l’Armorique en partance pour le Brésil. Son identité risque d’être découverte lorsque le bosco la condamne au fouet pour insubordination. Durant deux années, la jeune fille va partager la vie des Indiens Tupi de la forêt amazonienne. Elle se lie d’amitié avec un jeune guerrier qui devient son mentor dans l’art de la chasse, du tir à l’arc et de la navigation sur une pirogue. Powaka, la guérisseuse, l’initie aux pouvoirs des plantes. De retour en Europe, son chemin croise à nouveau celui de Thibault d’Arbanville, capitaine de l’Armorique, surpris par la transformation du mousse en une jeune femme téméraire. Une amitié naît entre l’officier et la seule personne de son entourage capable de comprendre ce qu’est une vie passée à courir les océans. Un récit d’aventures qui fait revivre la vie des équipages de la marine à voile et initie son lecteur aux pratiques d’une tribu amazonienne. À l’image du précédent, ce roman s’attache aussi à célébrer les charmes du pays mentonnais de la fin du XVIIIe siècle.

Lætitia a refusé sa main à Thibault d’Arbanville craignant qu’il ne vienne à regretter une union que la censure sociale risque de taxer de mésalliance. Elle accepte cependant l’invitation sur ses terres de Bretagne de la marquise Éléonore d’Arbanville, mère du capitaine, officiellement pour remédier à la santé défaillante du marquis, son époux. Erwan, frère aîné du capitaine, ignorant des liens qui unissent la jeune femme à son cadet, se montre sceptique envers cette roturière que sa mère impose à la famille. Toutefois, cette fille qui lit les philosophes, possède une bonne pratique du gréement, plonge dans les eaux agitées de la côte et s’acquitte d’un accouchement à complications ne cesse de l’intriguer. Au grand embarras de Lætitia, Thibault rentre de mission plus tôt que prévu. Il a, dans ses bagages, le bébé de la fille d’un planteur et d’un esclave noir. L’histoire de cette enfant reflète la cruelle réalité des plantations de Saint Domingue, territoire français à l’époque.

Ajaccio, 1772: la Corse avait fait face au danger barbaresque venu de la mer. Par une nuit sans lune, un navire corsaire s'était introduit dans la rade et Catharina emmenée de force. Destination: les marchés aux esclaves d’Afrique du Nord. Le tome IV de Filles des Lumières est consacré aux aventures de Catharina, ex-capitaine corsaire au service de Sa Majesté Mohammed III, sultan du Maroc. La jeune femme œuvre désormais pour le compte de la Principauté de Monaco où son rôle est d’assurer la protection des bateaux de commerce à bord de son navire-escorte. Ses missions l’entraînent dans les eaux tumultueuses de l’Atlantique, sillonnées par la flotte britannique, ennemie jurée de la France. Le capitaine Thibault d’Arbanville, en mission à Saint-Domingue, est confronté à une situation toujours plus volatile où les colons, propriétaires d’esclaves, se livrent à une répression sauvage des esclaves rebelles. De retour en Bretagne, Lætitia se voit convoquée par l’évêque de Saint-Malo qui a fait arrêter une ancienne patiente de la jeune femme, Anaig Nedelec. Cette dernière est accusée d’avoir consommé des plantes contraceptives fournies par la guérisseuse pour mettre fin à des grossesses successives néfastes à sa santé. Cette pratique, réprouvée par l’Église, est passible de peine de mort. Les circonstances amènent Erwan d’Arbanville à devoir coopérer avec Catharina dont la forte volonté et l’irrévérence le déconcertent et l’incommodent.

Fred, veuf récent, petit patron contraint au chômage, conscient de sa précarité, habité par la colère, décide de visiter le VIe arrondissement de Paris. Sa vie prend alors un cours inattendu. Au fil de son errance parisienne puis provinciale, hanté au départ par sa situation précaire, il découvre l’amitié avec un vieil homme, homosexuel, attentif et généreux, retrouve l’amour avec une femme croyante mais blessée, atteint enfin ce qui pourrait ressembler à la paix des braves.

En 1990, Chris fête la fin de l'année scolaire avec cinq amis lorsqu'il est victime d'un accident de voiture qui lui fait perdre l'usage de ses jambes. Son père fait tout pour lui redonner le sourire, en commençant par rechercher ses anciens camarades, qui lui ont tourné le dos après le drame. Dix ans plus tard, Chris et ses parents partent vivre en Bretagne où une nouvelle tragédie a lieu. Edition adaptée facile à lire : malvoyance ; fatigue visuelle ; troubles de l'apprentissage ; troubles cognitifs ; troubles DYS ; dyslexie ; dysgraphie ; TDA/H ; alphabétisation, FLE. "

Irlande, 1845. Par un froid matin d’octobre, alors que la Grande Famine ravage le pays, la jeune Grace est envoyée sur les routes par sa mère pour tenter de trouver du travail et survivre. En quittant son village de Blackmountain camouflée dans des vêtements d’homme, et accompagnée de son petit frère qui la rejoint en secret, l’adolescente entreprend un véritable périple, du Donegal à Limerick, au cœur d’un paysage apocalyptique. Celui d’une terre où chaque être humain est prêt à tuer pour une miette de pain. Un personnage féminin magnifique, une écriture incandescente, un roman splendide et bouleversant.

Iona Sheehan ne s’est jamais vraiment sentie à sa place en Amérique, aussi a-t-elle tout quitté pour rejoindre le comté de Mayo, en Irlande. Ici, elle rencontre ses cousins Branna et Connor O’Dwyer, qui, comme elle, sont les descendants de Sorcha la Ténébreuse, une sorcière du Moyen Âge dotée d’un immense pouvoir. Sur cette terre ancestrale, Iona trouve non seulement la famille dont elle a toujours rêvé, mais aussi l’amour, au côté de Boyle McGrath, propriétaire d’un centre équestre. Un amour pourtant soumis à rude épreuve, car l’ombre du maléfique Cabhan plane fatalement sur les O’Dwyer. Aujourd’hui, plus que jamais, pourtant, Iona s’apprête à affronter sa destinéeà

À la tête d’une école de fauconnerie en Irlande, dans le charmant comté de Mayo, Connor O’Dwyer y exerce ses talents de dresseur pour le plus grand plaisir des touristes. Véritable bourreau des cœurs, il a aussi connu nombre de femmes ; pourtant aucune n’a jamais su le conquérir. Se pourrait-il que Meara, son amie d’enfance, y parvienne ? En tout cas, son corps de déesse et ses yeux de gitane l’ensorcellent. Méfiance toutefois car les ténèbres approchent, et si Connor se laisse prendre au jeu de l’amour, il lui faudra se tenir prêt à affronter le mal en la personne du maléfique Cabhanà

Puissante magicienne, propriétaire d’une boutique de produits artisanaux, Branna O’Dwyer a toujours fait passer le bien-être de ses proches avant ses propres désirs. L’unique fois où elle a osé écouter son cœur, c’était avec Finbar Burke. Or, ce dernier porte le sceau de Cabhan, le sorcier maléfique qui menace les O’Dwyer depuis des générations. Et l’interdiction qui pèse sur les membres de la famille est impitoyable : aucun ne doit convoler avec un descendant de Cabhan. Et si leur amour se révélait être la clé pour anéantir à jamais leur redoutable ennemi ?

Une île minuscule, au large de la Toscane. C’est là, dans les années soixante-dix, que naissent deux sœurs, Caterina et Teresa. Elena, leur mère, est surnommée « la Rouge » pour sa chevelure flamboyante, mais surtout pour ses idées politiques. Vittorio, leur père, éternel hédoniste, mène son existence comme bon lui semble, tandis que Nonnalina, leur grand-mère, traverse l’existence avec une force résignée, héritage de la guerre qui a bouleversé sa vie. Caterina, l’aînée, subjugue et domine Teresa qui, pour trouver sa place, devra apprendre à se détacher de sa terre comme de sa famille.

Tandis que s’élèvent de lugubres incantations et que brûlent les feux trompeurs, des navires disparaissent, aux cales chargées d’ambres, de tissus précieux, de fourrures et de sel. Des hommes sont sauvagement massacrés, des innocents torturésà La peur et la haine se répandent aux confins du duché d’Aquitaine. De Blaye jusqu’à Talmont, le chevalier Galeran de Lesneven devra affronter seul les périls d’une contrée étrange, où se mêlent les mystères du dragon et du grand fleuve, les rites des sorcières et la férocité des naufrageurs. Genre : Roman Policier/Historique